L’hôtellerie du futur

L’hôtellerie du futur

14


février
2020
Fédération

« Quelle hôtellerie demain sur la Côte d’Azur ? » C’est la question à laquelle a répondu Denis Cippolini dans un article paru le 10 février dernier dans Nice-Matin.

Adepte du mot juste et de la phrase qui fait mouche, le président de la Fédération de l’Hôtellerie de la Restauration et du Tourisme Nice Côte d’Azur (FHRTNCA) a déclaré « Pas de blabla, du concret » avant de développer et de mettre en avant les priorités, les actions déjà menées et celles à venir.

En accueillant les restaurateurs, les plagistes, les établissements de nuit et tous les acteurs du tourisme, la FHRTNCA a ouvert grandes les portes à tous les professionnels du secteur.  Indispensable au développement comme à la défense de tous.

Le président a ensuite mis « de l’ordre dans la maison », aussi bien en matière de finances que d’outils et de développement durable. Aujourd’hui, l’hôtellerie travaille sur le gaspillage alimentaire, les économies d’énergie, les circuits courts.

Le savoir-vivre niçois

Denis Cippolini le clame haut et fort, à Nice et sur le territoire, un gros effort a été porté sur l’accueil et sur un savoir-faire propre à la destination. Si en 2019, l’une des priorités de la FHRTNCA a été d’entrer au Convention bureau (le bras armé de la Métropole pour le tourisme d’affaires et de congrès), ses ambitions ne s’arrêtent pas là. Car Nice n’est pas seulement une station balnéaire. La 5e ville de France veut mettre en lumière ses multiples atouts, comme autant d’arguments attractifs pour les organisateurs d’événements.

Pour répondre à la demande, Nice propose en effet une hôtellerie riche d’établissements de toutes catégories (de l’auberge de jeunesse au palace), tous desservis par le tramway. Aujourd’hui, c’est vers le moyen et le haut pays que se porte le regard du président de la FHRTNCA. Il insiste sur l’importance de la ruralité, sur l’urgence d’apporter à des établissements en souffrance les clés d’une plus grande attractivité. Restent deux sujets sensibles : Airbnb et les terrasses chauffées. Pour le premier cité, Denis Cippolini le redit : « On n’est pas contre Airbnb. On réclame juste un pied d’égalité. » Quant au second, il faut être réaliste : « Avec 30 % du CA des restaurants réalisé sur les terrasses, on ne les supprimera pas. Là aussi, on est prêt à innover. » À suivre donc…

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